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 Les républicains bloquent l'offensive contre Gonzales

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Georges D. Nightmare

Georges D. Nightmare


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MessageSujet: Les républicains bloquent l'offensive contre Gonzales   Les républicains bloquent l'offensive contre Gonzales Icon_minitimeMar 12 Juin - 12:24

Quelle pourriture ce Gonzales !!! c'est lui qui avait dit que Bush avait parfaitement le droit d'utiliser la torture, c'est lui aussi qui a dit que Bush n'avait pas a respecté les conventions de genève. Juridiquement du point de vu des conventions internationales il s'est rendu coupable de crime de guerre.
Gonzales c'est le politicien véreux et criminel qu'on voit dans plein de films d'Hollywood. Et en fait il est bien à sa place dans le gang de bush

USA: les républicains bloquent l'offensive contre le ministre de la Justice
Par Fanny CARRIER




WASHINGTON (AFP) - Les sénateurs démocrates américains ont échoué lundi à faire voter une motion de défiance contre le ministre de la Justice, Alberto Gonzales, englué dans une série de scandales mais toujours fermement soutenu par le président George W. Bush.

Les partisans de la motion ont réuni 53 voix pour fixer une limite au débat et procéder au vote sur le texte lui-même, soit 7 de moins que la majorité qualifiée nécessaire pour ce type de procédure.


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Un sénateur s'est abstenu et 38 ont voté contre l'idée d'un vote sur cette mesure symbolique mais extrêmement rare qui annonçait que "le Sénat et le peuple américain (n'avaient) plus confiance" en M. Gonzales, fidèle collaborateur de M. Bush, allié depuis les années texanes.

Sept sénateurs républicains, parmi lesquels Charles Hegel ou le vice-président de la commission des Affaires Judiciaires, Arlen Specter, ont cependant déserté leur parti et se sont prononcés en faveur du vote.

Lundi, le président avait une nouvelle fois défendu son ministre, réaffirmant qu'il n'y avait rien à lui reprocher et dénonçant la motion, qui ne l'aurait obligé en rien, comme une manoeuvre politicienne des démocrates.

"Ils peuvent essayer d'obtenir les voix pour la motion de défiance, mais cela ne va pas décider qui travaille dans mon gouvernement (...) C'est moi qui déciderai s'il est efficace ou non", a déclaré M. Bush à la presse à Sofia, à la fin d'un voyage en Europe.

Interrogé sans relâche depuis février sur une éventuelle démission, Alberto Gonzales lui-même a toujours répondu que son poste dépendait du bon plaisir du président, et que pour sa part il resterait tant qu'il se sentirait efficace.

"Je ne me concentre pas sur ce que fait le Sénat, je me concentre sur ce que le peuple américain attend de son ministre de la Justice", a-t-il déclaré lundi en marge d'une conférence de presse.

Après le vote, un porte-parole du ministère, Brian Roehrkasse, a expliqué dans un communiqué: "Alors que notre pays fait face des problèmes pressants comme la menace terroriste et les dangers représentés par les gangs et la criminalité, nous sommes impatients de continuer à travailler avec le Congrès pour trouver des solutions appropriées".

Ancien conseiller juridique de la Maison Blanche, déjà dans le collimateur des associations de défense des droits de l'homme pour son rôle dans la mise en place des mesures antiterroristes, le ministre est aujourd'hui sur la sellette à cause de l'éviction d'au moins neuf procureurs fédéraux l'année dernière.

Cette démarche, légale, apparaît comme une purge politique. Tout en acceptant la responsabilité de la décision finale, le ministre a expliqué que la liste des procureurs à limoger avait été établie essentiellement par son chef de cabinet et par son adjoint, qui ont tous deux démissionné.

Surtout, l'enquête menée par les parlementaires des deux chambres a révélé l'implication de la Maison Blanche et l'importance des considérations politiques dans la gestion quotidienne du ministère.

Une ancienne collaboratrice de M. Gonzales, Monica Goodling, a ainsi reconnu avoir retardé l'embauche de juristes de carrière, censés rester indépendants, parce qu'ils ne lui semblaient pas assez conservateurs.

Un ancien numéro 2 du ministère, James Comey, a aussi raconté à des sénateurs sidérés comment M. Gonzales, alors responsable des services juridiques de la Maison Blanche, s'était rendu un soir de mars 2004 au chevet du ministre de l'époque, John Ashcroft, en soins intensifs après une opération, pour le pousser à cautionner un programme d'écoutes controversé.
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