JE SUIS LE CANDIDAT DE L'AMERIQUE QUI GAGNE

Hi my americans friends !

JE SUIS LE CANDIDAT DE L'AMERIQUE QUI GAGNE !



Je m'appelle Jimmy Wesson, j'ai 38 ans et je me présente devant vos suffrages pour la première fois.

Depuis ma plus tendre enfance, j'ai toujours été fier et reconnaissant de vivre dans ce beau pays que nous aimons tous sans raison, les Etats-Unis. Je me suis sans cesse battu pour défendre les valeurs de l'Amérique, telles qu'elles furent établies par nos Pères Fondateurs, à savoir la responsabilité, la liberté, la sûreté et la résistance contre toute oppression, quelle qu'elle soit.

Pourquoi m'accorderiez-vous vos suffrages et me soutiendriez-vous dans cette bataille électorale ?

J'ai monté à l'âge de 25 ans ma première entreprise qui est aujourd'hui parmi les mieux cotées de notre pays. Je connais donc, par expérience, les réalités économiques que traverse notre pays, ses réussites, ses avantages sur la scène internationale, mais aussi ses failles. Les Etats-Unis sont la première puissance économique et militaire du monde. Nous ne pouvons pas nous permettre de faillir. Nous devons vouer à chaque instant un véritable culte à l'excellence, au sein même de l'ensemble de nos établissements scolaires, sans exception. Je souhaite le meilleur pour l'Amérique, non pas par simple choix personnel, mais parce que l'Amérique le mérite. Ensemble, nous pouvons tourner le dos à ces politiques sociales démocrates qui n'ont mené qu'à la ruine de l'Amérique, et à créer une économie privilégiant les perdants plutôt que les gagnants.

Si je deviens Président des Etats-Unis, je mettrais en oeuvre un Amendement Constitutionnel garantissant que les budgets de l'Etat seront toujours équilibrés, et que l'ensemble de nos impôts actuels sont supprimés au profit d'un impôt unique, qui ne dépassera pas 15 % et ce, quel que soit votre revenu. Je garantis que les formalités bureaucratiques et les réglementations diverses, qui sont un véritable frein à la création d'entreprise et qui pénalisent les plus pauvres en les empêchant de monter leur affaire, seront supprimées. La Sécurité sociale doit être gérée non plus par l'Etat mais par des entreprises privées, afin d'une part de faire face au vieillissement de la population, et d'autre part de permettre un apport financier pour chacun ( 200 000 dollars de plus à la fin de la vie avec la mise en place de ce système ). Nous devons aussi libéraliser le système éducatif et de santé, en mettant en place des chèques éducation et chèque santé, comme cela a été fait en Nouvelle Zélande, et qui permettrait ainsi à des jeunes défavorisés de bénéficier d'une meilleure santé et d'une meilleure éducation.

Mais si nous devons agir pour que notre pays soit le plus prospère qui soit et soit envié par nos voisins, nous ne devons pas oublier d'où nous venons. Notre identité même, nos valeurs morales, qui sont le ciment de notre pays depuis son origine. N'oublions jamais que c'est grâce à Dieu, et par la seule volonté de Dieu, si nous vivons aujourd'hui dans une société libre, beaucoup plus libre et tolérante que ne le furent, il y a des siècles, les pays voisins et même d'Europe. Nous devons restaurer la religion au sein des établissements publics, mais aussi rétablir le patriotisme dans les écoles. Nous devons agir pour que chaque américain, dès le plus jeune âge, soit fier d'être américain.

Nous devons sécuriser nos frontières et revoir totalement notre politique d'immigration. Les illégaux seront renvoyés chez eux sans exception, car ils sont venus illégalement dans notre pays. En revanche, tous ceux qui manifesteront le désir de vivre en Amérique et qui agiront par les voies légales seront fortement encouragés à s'installer dans notre pays. Nous devons à ce titre, corriger la politique des quotas pour permettre au plus grand nombre de s'installer sur le sol américain, sous certaines conditions cependant ( connaissance politique des USA, langue anglaise parfaitement apprise, suivi des intentions poussant à vivre sur le sol américain, etc ).

Je considère que la vie et plus particulièrement, la naissance d'un être humain, est l'une des plus belles choses qui nous amené à voir. Dieu a créé la vie sans lequel notre société, notre environnement n'existerait pas. Je m'oppose donc fermement à tous ceux qui cherchent à la détruire. Si je considère que notre environnement doit être préservé et que nous devons réellement agir pour la protection de notre planète, je pense que nous devons aussi agir pour protéger l'homme, notamment quand il est en situation de fragilité et de faiblesse, c'est à dire au stade d'embryon. Si je deviens Président, je ferais passer un Amendement Constitutionnel qui interdira et criminalisera l'avortement, et ce, sans exception. Je ne puis accepter que ce que je considère comme un meurtre soit pratiqué par voie légale.

Une Amérique prospère, entreprenante, une Amérique fière d'elle même et de ses valeurs, une Amérique qui se souvient d'où elle vient pour mieux agir sur l'avenir, une Amérique qui permet au plus faible de s'en sortir et de réussir, voici l'Amérique que je souhaite, car elle est à l'image même de ce que désiraient et défendaient nos Pères Fondateurs. Ensemble, changeons l'Amérique !

JIMMY WESSON
MAKE THE FUTURE TOGETHER

on va en entendre parler de toi lol
Elle est bien ta présentation comme candidat.

Merci !

Website :

http://wesson2008.canalblog.com/

enfin un candidat digne de Ronald Reagan
je voudrais juste avoir ton point de vue sur le nucléaire iranien et la guerre contre le terrorisme
voilà
et encore bravo!

Thanks my dear friend !

I am in favour of the end of the Iran tyrannic regim and the fight against terrorism with our european friends.

D'accord mais bon je vais pas en guerre pour rien, je veux un retour d'investissement, exclusivité du territoire en terme commercial ou pétrole.

Pas de souci, t'auras ton lopin de terre avec des iraniens à exploiter

Je plaisante.

Disons que je défend les groupes industriels. naturellement Halliburton entre autres.

PPDA aujourd'hui : un mois après la tuerie dans le campus américain, les américains ont trouvé la solution, qui n'est pas la meilleure "



Je croyais que les médias devaient être objectifs !

Les autorités américaines ont décidé, conformément à mes vues, que les étudiants devaient être armés en se rendant en cours et que les profs devaient être formés pour apprendre à se servir d'une arme en cas de besoin. Après ce qu'il s'est passé, c'était bien le moins, afin de neutraliser tout éventuel déséquilibré rapidement.

Bravo aux autorités qui ont pris les bonnes décisions face à ce problème majeur !

Je souhaite être le candidat de tous les américains qui pensent qu'ils ne parviendront jamais à s'élever, qui pensent que leur sort est déterminé à l'avance par leur appartenance à tel ou tel groupe social. Il n'y a pas de fatalité ; par la force du poignet, par le travail, on peut partir de rien et arriver au sommet, et ainsi accomplir de grandes choses.

Je suis ainsi le candidat qui est le plus crédible pour restaurer dans les faits, et pleinement, le rêve américain, et permettre au plus grand nombre de monter son affaire en cinq minutes, de prospérer et de faire fortune, en mettant fin à toutes les barrières qui les en empêchent à l'heure actuelle.

GOD BLESS AMERICA

http://www.libres.org/francais/conjoncture/amerique_laffer_c_4406.htm


Laffer, vous connaissez ? Si vous nous lisez depuis longtemps, vous devriez connaître. Mais, de toutes façons on ne peut vous en vouloir d'ignorer ce que Bercy feint d'ignorer. Quand en 1995 il a été question de baisse des impôts (comme CHIRAC l'avait promis) nos inspecteurs des finances ont crié au scandale, en agitant le spectre d'un déficit budgétaire record. On ne croyait pas à « l'effet Laffer » Et on a augmenté la TVA et autres prélèvements...

Les Américains, eux connaissent LAFFER, cet économiste conseiller de REAGAN qui a expliqué quelque chose de très simple : la baisse des taux d'imposition stimule l'offre, donc la croissance, donc le rendement des impôts. Voilà pourquoi le déficit budgétaire se réduit.

S'il en était besoin, ce qui se passe en ce moment à Washington devrait confirmer une fois de plus la pertinence de cette analyse. Les démocrates en sont encore consternés : G.W. BUSH a baissé les impôts, ce qui selon eux devait provoquer un déficit budgétaire accru, or celui-ci s'est établi à son plus bas niveau depuis quatre ans !


Le plus faible déficit budgétaire depuis quatre ans

Cela fait maintenant six ans que G.W.BUSH est au pouvoir et l'un des éléments clefs de sa politique économique n'a pas varié : la baisse des impôts. Certes, on aurait pu espérer encore mieux et BUSH n'a pas osé franchir certains pas, comme celui de la flat tax. De plus, en raison de l'opposition d'une partie du Congrès, il n'a pas encore réussi à rendre permanente sa baisse d'impôts. Mais toujours est-il que baisse des impôts il y a eu.

Selon tous les experts keynésiens, cette politique devait entraîner une catastrophe budgétaire : un impôt de 30% rapporte moins qu'un impôt de 40%. Mais les keynésiens ignorent tout de la logique de la croissance, qu'ils cherchent du côté de la dépense (vivent les dépenses publiques), alors qu'elle est du côté de l'initiative des entrepreneurs, des travailleurs et des épargnants, toutes personnes qui n'aiment pas être volées par l'Etat !

Ainsi le déficit budgétaire américain est-il revenu, lors de l'année fiscale 2006, qui s'est terminée le 30 septembre, à son plus bas niveau depuis quatre ans. Selon le Trésor américain, il s'est établi à 247,7 milliards de dollars (198 milliards d'euros), soit 22% de moins qu'en 2005. On est surtout très en dessous des prévisions pessimistes de 423 milliards de dollars faites en février 2006 : on en est presque à moitié moins.


Le déficit représente 1,9% du PIB, contre 3% en Europe

Il faut remonter à 2002 pour trouver un déficit plus faible (159 milliards). Inutile de dire que G.W BUSH a salué de la Maison Blanche « une réduction spectaculaire » du déficit des finances publiques et il s'est félicité d'avoir rempli avec trois ans d'avance sa promesse de la campagne présidentielle de 2004 de réduire de moitié, en pourcentage du PIB, ce déficit.

Certes, le déficit qui reste peut paraître important, mais il reste modéré à l'échelle des Etats-Unis : il s'établit en effet cette année à 1,9% du PIB, soit bien en dessous de la plupart des déficits européens, qui sont autour des 3%, maximum autorisé par Bruxelles.

Le succès américain s'explique par la croissance spectaculaire qu'ont connue les Etats-Unis jusqu'à cette année, où elle commence à se ralentir (en particulier avec la fin de la bulle immobilière). L'an dernier nous étions encore certains trimestres sur une pente de 5%. Mais cette croissance, à son tour, a eu pour cause les baisses d'impôt des années précédentes. Celles-ci, comme le dit le président BUSH, ont permis aux Américains de « conserver une proportion plus importante de ce qu'ils gagnent ».

Or ce seul fait suffit à tout changer : quand vous gagnez 100 et qu'il vous en reste désormais 70 après impôts, vous n'avez pas le même comportement que si vous gagnez 100 et qu'il vous en reste seulement 60. Il y a là une formidable incitation à entreprendre, à créer des richesses nouvelles, à investir, à travailler plus, à faire des heures supplémentaires, à reprendre un job, à chercher à progresser dans son travail, à épargner plus, bref à produire plus pour gagner plus. Qui dit hausse de la production dit hausse de la matière imposable, dont du rendement des impôts. Voilà pourquoi un taux d'impôt de 30% finit au bout de quelques années par rapporter davantage qu'un taux d'impôt de 40%.


Mais il aurait fallu réduire massivement les dépenses publiques

Voilà pourquoi Le Monde qui, il faut le dire, rapporte assez objectivement ces chiffres, se trompe quand il titre sur quatre colonnes « le déficit budgétaire américain a fondu grâce à la croissance et malgré les baisses d'impôts » ; il faudrait écrire « le déficit budgétaire américain a fondu grâce à la croissance obtenue grâce aux baisses d'impôts » et non malgré eux.

Il faut en effet mesurer le chemin parcouru. Alors que les taux d'imposition ont baissé, les recettes fiscales ont progressé cette année de 11,8%, (les recettes de l'impôt sur les sociétés de 27,2%, celles de l'impôt sur le revenu de 12,6%), tandis que les dépenses augmentaient de 7,4% à 2 650 milliards. Si l'on peut faire un reproche au Président BUSH et surtout au Congrès, c'est de ne pas avoir baissé les dépenses publiques : une hausse de 7,4% des dépenses budgétaires, ce n'est pas du tout raisonnable. Si les dépenses avaient seulement été stabilisées, le déficit budgétaire aurait pratiquement disparu. Il aurait fallu faire maigrir l'Etat fédéral, comme REAGAN y était parvenu en son temps.

Des think tanks comme Heritage Foundation reprochent vivement à G.W.BUSH d'avoir laissé filer les dépenses publiques, non seulement à cause de la guerre, mais aussi les dépenses de retraite ou de santé. Et la situation démographique va faire que les retraites pèseront de plus en plus. Il aurait donc fallu, selon Heritage, prendre les devants et diminuer maintenant massivement les dépenses publiques. Les déficits repartiront si les dépenses dérapent à nouveau, a fortiori si la croissance devait se ralentir.

La politique économique américaine a donc ses faiblesses, les finances publiques traînent une dette importante (même si elle est là encore inférieure à celle de la France en pourcentage du PIB) Mais la preuve est faite que, pour l'économie comme pour les finances publiques, il faut réduire les taux d'imposition. Partout et toujours.

Mr le candidat Wesson
Vous avez dit dans votre super presentation que , je site " Si je considère que notre environnement doit être préservé et que nous devons réellement agir pour la protection de notre planète ... " ok c'est tres bien mais l'a proteger contre quoi plus precisemment ? Ca peut paraitre stupide quand on suit l'actualitée mais j'aimerais savoir , si vous avez l'intention de freiner le devellopemment industriel de notre si beau pays afin de proteger la planette contre une menace que beaucoup qualifient de " phantome " ?

je soutiens la question de Mr Winger.
accéler les efforts de l'industrie et passer la vague de la conccurence venant de Chine doit rester la priorité pour un pays prospère, on ne doit pas pénaliser nos groupes mais les accompagner.

Citation :

Mr le candidat Wesson
Vous avez dit dans votre super presentation que , je site " Si je considère que notre environnement doit être préservé et que nous devons réellement agir pour la protection de notre planète ... " ok c'est tres bien mais l'a proteger contre quoi plus precisemment ? Ca peut paraitre stupide quand on suit l'actualitée mais j'aimerais savoir , si vous avez l'intention de freiner le devellopemment industriel de notre si beau pays afin de proteger la planette contre une menace que beaucoup qualifient de " phantome " ?

Non non, je vois ça autrement.

Il s'agirait d'une loi conforme aux droits de propriété qui préserverait l'environnement en autorisant des compagnies d'assurances et des tribunaux d'agir contre les industries qui refuseraient de respecter un minimum de règles. Je refuse que des industriels puissent en toute impunité déverser des tonneaux entiers de produits chimiques dans des rivières. Le problème n'étant plus seulement que la faune et la flore en meure, mais que l'homme en meure, car que mange et boit l'homme ?

Au fond, cela ne nuirait pas du tout au commerce d'un point de vue global, bien au contraire : il faut favoriser le développement d'eco-entreprises. Seulement, cela pénaliserait quelques lobbys, notamment dans l'industrie pétrolière, mais pas seulement, qui veulent acheter des élus pour détruire ce qui nous restent de parcs et sites naturels.

Citation :

je soutiens la question de Mr Winger.
accéler les efforts de l'industrie et passer la vague de la conccurence venant de Chine doit rester la priorité pour un pays prospère, on ne doit pas pénaliser nos groupes mais les accompagner.

Soyez rassuré, je suis partisan d'une politique environnementale intelligente, qui n'a rien à voir avec celle des dems. Je ferais tout pour favoriser le commerce, car je suis très pro-business, mais je fixerais un minimum de règles de bon sens. Je suis croyant et je n'oublie pas que Dieu a créé notre planète telle qu'elle est aujourd'hui. Je ne veux pas laisser à mes enfants un monde sans faune, sans flore, où règnerait un immense désert.